Secretary-General’s message on the International Day for the Preservation of the Ozone Layer [scroll down for French version]

Source: United Nations – English

t a time when multilateralism is under severe strain, the Montreal Protocol to help protect the ozone layer stands out as a powerful symbol of hope. It is a reminder that when countries show political resolve for the common good, change is possible.

In uniting the world to phase out the consumption and production of different ozone depleting substances, the Protocol has also contributed to shielding carbon sinks, protecting humanity’s health, and avoiding economic losses.

The ozone layer, once an ailing patient, is on the road to recovery.  

Now, it’s time to go further.

The Protocol’s Kigali Amendment — which focuses on phasing down hydrofluorocarbons (HFCs) – powerful climate-warming gases – can contribute to advancing climate mitigation efforts, protecting people and planet. And that is needed more than ever as temperature records continue to shatter.

If fully ratified and implemented, the Kigali Amendment could help avoid as much as 0.5 degrees Celsius of global heating by the end of this century. Yet, a range of climate solutions – including those related to refrigerants and energy efficiency – are also needed to avert a climate crisis by mid-century.

Four out of every five nations have ratified the Kigali Amendment, but the clock is ticking.

On this World Ozone Day, let’s commit to making peace with our planet. Let’s commit to build on the success of the Montreal Protocol to show what international cooperation at its best can achieve.

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À l’heure où le multilatéralisme est mis à rude épreuve, le Protocole de Montréal visant à protéger la couche d’ozone se présente comme un puissant symbole d’espoir. Il nous rappelle que, quand les pays font preuve de détermination politique et œuvrent en faveur du bien commun, il est possible de faire changer les choses.

En unissant le monde pour mettre progressivement fin à la consommation et à la production de différentes substances qui appauvrissaient la couche d’ozone, le Protocole a également contribué à protéger les puits de carbone, à préserver la santé humaine et à éviter des pertes économiques.

La couche d’ozone, autrefois en péril, est en voie de reconstitution.

Il faut maintenant aller plus loin.

L’Amendement de Kigali au Protocole de Montréal, qui se concentre sur l’élimination progressive des hydrofluorocarbones, de puissants gaz qui contribuent au réchauffement climatique, peut venir renforcer les efforts d’atténuation des changements climatiques et protéger ainsi les personnes et la planète. De telles mesures sont plus que jamais nécessaires, les nouveaux records de température ne cessant de se succéder.

S’il est pleinement ratifié et appliqué, l’Amendement de Kigali pourrait permettre d’éviter jusqu’à 0,5 degré Celsius d’augmentation des températures d’ici la fin du siècle. Cependant, toute une série de solutions climatiques, notamment celles liées aux agents frigorigènes et à l’efficacité énergétique, sont également nécessaires pour éviter une crise climatique d’ici le milieu du siècle.

Les quatre cinquièmes des pays ont ratifié l’Amendement de Kigali, mais le temps presse.

En cette Journée internationale de la protection de la couche d’ozone, engageons-nous à faire la paix avec notre planète. Inspirons-nous du succès du Protocole de Montréal pour montrer ce qu’une coopération internationale constructive est capable d’accomplir.